Tuesday, September 15, 2009

Leona Vicario (Devoir du cour de Français)

Leona Vicario [1789-1842]
Héroïne de l'Indépendance

Elle est née le 10 avril de 1789 dans la ville du Mexique. Elle a perdu a ses pères pendant sa enfance, et est restée chez son oncle, Agustín Pomposo Fernández qui avait un bureau dont entrerait à pratiquer un étudiant de lois, qui s'appelait Andres Quintana Roo, pour obtenir son titre d'avocat. La jeune s'est tombée amoreuse de l'étudiant, que l'a demandé se marier avec lui, à auquel elle a accepté; mais son oncle n'a pas permis son mariage avec ce jeune qui avait de idées révolutionnaires, tandis qu'il était un récalcitrant royaliste. La jeune fille avait les mêmes idées de son fiancé, alors quand Andres Quintana Roo s'a uni aux insurgés, après le rejet de son mariage, elle lui envoyait des nouvelles de la capital au domaines où il opérait en guerre.

Elle a donné les nouvelles au Mexique que les insurgés (les rebelles) fabriquaient une monnaie propre, et elle a dépensétout son patrimoine, ses bijoux, pour aider à ce mouvement, à lequel elle envoyait des nouvelles qui leur servaient, au moyen de messagers secrets. En faisant arriver aux membres rebelles dans la capital, elle leur a donné les rapports dont Quintana Roo envoyait une réponse de retour. Dans 1813 elle a été découvert et a été dénoncé comme conspirateur, madame Leona Vicario, ce pourquoi son oncle l'a interné dans le couvent de Bethléem des Mochas. Plus tard, trois insurgés déguisés de fonctionnaires de l'armée royale l'ont aidée à échapper déguisée d'africaine en montant sur un âne qui portait des cuirs de pulque, pour éviter qu'il était reconnu.

Ainsi, elle est allée à s'abriter au minéral de Tlalpujahua, où il y opérait Ignacio López Rayon, et au service se trouvait Quintana Roo; alors, elle s'est marié avec lui, et depuis elle l'a suivi dans tous ses événements gueriérs, marchant à se cacher dans les grottes de la montagne. Dans 1818 il a donné à lumière à sa premier fille, dans une grotte, et son mari Andres commence à s'amnistier, pour pouvoir élever sa fille y l'instruire. En sachant qu'on chercherait et qu'on trouverait le grotte où ils vivaient, Quintana Roo s'est enfuie, en laissant à Leona, pour permettre qu'elle soit repris, et avec elle une lettre qu'elle devrait livrer pour que le roi pardonne à Quintana Roo.

Le pardon on a lui donné, et durant cette même année il a pu passer à le ville du Mexique, où il a résidé. Consommée l'Indépendance, lturbide a nommé à Quintana Roo sous-secrétaire d'État et du bureau de Relations Intérieures et Extérieurs, mais devant les ambitions impérialistes de Iturbide, Quintana Roo s'est déplu dans cette situation et s'est enfui vers Toluca, où il a vécu avec des grandes privations. Dans 1823 madame Leona a sollicité au Congrès Constitutif la restitution de propriétés qui le royaume les avait enlevés, quand elle a été à la révolte(insurgence); le congrès a accédé à cela, ce pourquoi ils ont pu vivre avec moins de pénuries. Dans 1830, quand Anastasio Bustamante a occupé le présidence, Quintana Roo l'a attaqué aussi dans ses périodiques.

Le président lui a envoyé appréhender, et Leona Vicario est allé à demander des garanties à Bustamante, qui avait été réaliste(à faveur du royaume) et il la avait poursuivi, dans 1813. Elle a été victime des injures de ce qui étaient à faveur de Bustamante, entre eux, le ministre de relations et écrivant, Lucas Alamán. Bustamante a accédé à laisser en liberté à Quintana Roo, mais madame Leona n'est pas resté avec les injures reçues, et avec gravelosité elle a publié un lettre dans 1831, dans laquelle elle réclamait publiquement à Alamán sa conduite et à ceux qui l'avaient offensé quand elle a vu au président. Depuis lors, ils l'ont laissée en paix "prudemment".

Madame Leona s'est alors consacrée à des activités intellectuels intenses, à côté de son mari. Sa culture était vaste y surprenant pour une femme de son époque. Elle a collaboré dans le périodiques dans lesquels son mari écrivait, et en secondant les campagnes politiques de lui, souffrant des problèmes énormes pour cette raison, comme le démontrent deux lettres qu'elle a écrit dirigées à le président Valentin Canalizo, qui sont conservés dans le Musée Ressortissant d'Histoire.

Elle est mort le 21 août 1842, 9 de la nuit, dans la ville du Mexique, en est enterré dans le cimetière de Santa Paula.


"traduit" de http://www.mexico-tenoch.com/mexicanosilustres/leonavicario.html

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