Sunday, February 28, 2010

Réflexion: Jeunesse et originalité.

Depuis mon enfance, j'ai toujours vu dans les programmes de télévision et les dessin animé le paradigme suivant : un jeune gars ou une jeune fille parmi 14 et 17 années, souvent orphelin(e) (ou s'il/elle a famille il/elle ne le feint pas), entreprend une quête et il/elle vit beaucoup d'aventures, chasser des monstres, avoir beaucoup d'amis alliés. Ils sont surdoué en amour, combat, stratégie, musique, etc.

Et je ne veux pas dire que ceci est mauvais. Il est excellent qu'à âge précoce on commence à apprendre beaucoup de choses, qui soient développés des habilités. Toutefois, dans l'atmosphère où je vis, cette vertu est venu perdu dans le temps. Nous formulons des idées de compétences, nous nous limitons à nous mettre le reste de la vie à veiller nos travaux. Nous obtenons nos fruits toujours avec peur à les perdre et c'est pourquoi nous ne jouissons jamais.

Nous nous sentons supérieurs, nous nous sentons comme si notre caca sente à roses et comme si nous urinions champagne.

On croît avec l'idée qu'uniquement entre les 14 et 17 années on peut obtenir et créer des choses. Que nos cerveaux sont des éponges seulement quand nous sommes des enfants. On ne veut pas rendre compte qu'il faut toujours veiller à cette éponge pour qu'il puisse toujours absorber.

Aujourd'hui à mes 30 années je vois avec une mélange de confusion, réflexion, rejet et compréhension à cette jeune étape tellement éloignée dans d'autres chaussures. Et je vois aussi avec une mélange de confusion, réflexion, rejet et compréhension à ma génération avec l'avis que la fin du chemin est un poste de travail, une famille et un status dans la société.

Je vois comment ils admirent aux créateurs d'oeuvres, mais ils se limitent à vouloir passer leurs vies en train de les imiter. Nous nous transformons en partisans par toujours, copies par toujours. Ils ne veulent pas être créés eux-même… ils font partie du jeu de suivre des idoles et ils ne sont pas suivis eux-même. Ils dédaignent à ceux qui essayent.


Mais… pas tout est perdu encore. Nous sommes à temps...

Paix

Sunday, February 7, 2010

La Ville ... symbole de la mal-vie aujourd'hui?

Je crois que c'est un question de vue oú la majorité des personnes partage une vie avec un meme style de vie: se réveiller plutot chaque matin, s'habiller, traverser le trafic pour arriver au logement pour comencer le jour de travail, rester-lá pendant huit heures (et peut etre plus), sortir de retour à la maison...

Et repeter tout ca, pendant 5 ou 6 jours pendant toute une année, a devenu une synonyme de malheur, de cotidianité. Hélas...